Calcite

Avouez tout de même que c’est cocasse.Voilà un patron que je ne me voyais pas tester, encore moins porter et je me retrouve à faire une deuxième version dans la foulée de la première tellement j’ai trouvé Calcite sympa à coudre et à porter…

J’ai choisi pour cette deuxième version un coton imprimé beaucoup moins fluide que le tissu utilisé pour la première blouse. Le col se tient mieux et le tombé est joli. Comme pour la première, je n’ai choisi un tissu contrastant que pour les pattes des manches.

Maintenant que je maîtrise l’étape 4, la couture des pattes de l’encolure, la couture de la blouse a été assez rapide et tout a roulé. D’ailleurs, l’article de SBcréations, toujours très détaillé, avec sa multitude de photos de toutes les étapes de couture, vous permettra de passer haut la main l’étape 4 si comme moi, vous bugguiez sur ce point.  Résorber l’embu des manches a été un peu plus difficile avec ce tissu un peu plus épais, mais avec deux lignes de fronces, tout va bien.

Je suis assez contente de mes raccords milieux devant, ce n’est pas trop mal… J’ai remonté le repère de fente de 2 cm, je n’aime pas les hauts trop échancrés, c’est la seule modification que j’ai apportée au patron.

À la galerie de minéralogie et géologie du muséum d’histoire naturelle à Paris, quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver nez à nez avec des calcites portant fièrement ma calcite… Amusant, non?

Cahier des charges

Patron Calcite d’histoire de coudre coupée en 36 pour 8€

Tissu  acheté avec les copines en Alsace pour moins de 2€

Repère de fente remonté de 2 cm

La visite à la galerie de minéralogie est spectaculaire, les minéraux éblouissent par leurs formes, leurs couleurs, leur beauté…

Je comprends pourquoi Frédérique a choisi le nom de ce minéral pour sa blouse, magnifique, non?

Cahier des charges

Patron Calcite d’histoire de coudre coupée en 36 pour 8€ en PDf

Le patron est disponible en patron pochette pour 14€

Repère de fente remonté de deux centimètres.

Le bal des sirènes

Quand Frédérique, la créatrice d’histoire de coudre, m’a parlé de son nouveau projet la blouse Calcite, je n’ai pas été emballée par le dessin technique…

J’avais peur que la blouse soit trop ample, les pattes devant me paraissaient étranges… Et puis… comme j’avais un peu de temps devant moi pour coudre, je me suis laissée tenter par la construction inhabituelle de cette blouse, avec Frédérique, j’apprends toujours, à chaque nouveau patron.

Et vraiment, je ne le regrette pas! J’adore ma nouvelle blouse.

Simple en apparence, Calcite est une blouse originale avec des pattes prises dans des plis à l’encolure et aux bas des manches. On peut utiliser un tissu contrasté pour les mettre en valeur ou non. J’ai choisi des pattes contrastées uniquement pour les manches, un crêpon rose, un reste de ma robe hippie.

La blouse n’est pas cintrée , il n’y a pas de pince mais elle n’est pas trop ample comme je le craignais. J’ai coupé ma taille, 36, et c’est parfait.  J’ai eu un grand moment de solitude à l’étape 4, pour coudre la patte de l’encolure… Pourtant les schémas sont clairs, ma copine Michèle  m’a donné un petit coup de pouce et tout m’a paru tellement évident! Je conseille aussi de faire une double ligne de fronces pour résorber l’embu des manches plutôt qu’une seule comme préconisé dans les explications.

J’ai choisi un tissu fluide, une sorte de mousseline un peu transparente. Mais le col se tient relativement  bien grâce aux parementures thermocollées.  Il bouge mais ne s’ouvre pas trop.

J’avais aussi peur que mes petites sirènes soient too much mais j’aime tout! Les motifs, le tissu, le patron, les nouvelles techniques… Bref, Frédérique me pousse souvent au delà de mes goûts vestimentaires comme pour Jacinthe et je n’ai jamais eu à le regretter jusqu’à présent.

Cahier des charges

Patron Calcite d’histoire de coudre coupée en 36 pour 8€

Tissu sirène acheté avec les copines en Alsace pour moins de 2€

Restes de crépon du stock.

Je vous laisse avec une vraie sirène, une championne avant de devenir une gloire d’Hollywood…

Eye of the tiger

Encore une fois, j’ai le plaisir d’avoir pu tester un nouveau patron pour histoire de coudre.

Ce patron est un beau cadeau puisqu’il est gratuit ou presque, Frédérique vous propose de le télécharger en PDF pour 1 centime.

J’ai vraiment aimé ce petit top bénitier, facile à coudre, rapide (ça me change!) mais qui, techniquement, m’a apporté de nouvelles connaissances. En effet, je n’avais jamais cousu d’ encolure bénitier, ce n’est pas très compliqué et c’est assez sympa à porter.

Dans un tissu chaîne et trame, il faut couper le devant dans le biais et ça demande pas mal de tissu pour un top sans manche. J’ai choisi une viscose de polyester (je pense) assez fluide mais un peu épaisse, avec un joli imprimé graphique avec des panthères et des tigres. Le tombé est assez joli.

Je l’ai coupé en 36 sans les marges sur les côtés parce que je préfère les vêtements un peu plus cintrés. D’ailleurs, je le préfère nettement mieux porté avec une ceinture, non?

Pour le lancement de ce patron et pour fêter la création du blog collectif, Frédérique vous propose un jeu  ici et pour vous permettre de coudre vous aussi ses jolis patrons, tous les PDFS histoire de coudre sont à moitié prix jusqu’au 18 mai! Profitez-en!

Cahier des charges

Patron gratuit Béryl d’histoire de coudre coupé en 36 pour mon 36 sans les marges sur les côtés.

Viscose polyester achetée avec les copines blogueuses en Alsace pour un coût de moins de 2 euros

Pink

En règle générale, je n’aime pas vraiment porter du rose…  Mais je suis tombée sur ce magnifique jean ciré un peu stretch au Stoffen Spektakel à Besançon.

J’ai tout de suite pensé à la version de la veste Topaze motard de Frédérique. Je me suis attelée à la copier honteusement. Mais visiblement, je n’ai pas bien compris les instructions de montage. Je n’ai pas pris correctement le parement  dans le col. 

Exit le col motard mal monté, j’ai changé d’avis et recoupé un col normal.

Exit aussi les boutonnières que ma machine peine à faire sur le jean, j’ai choisi des pressions métalliques à poser au marteau. Après bien des péripéties, j’en suis moyennement contente, la tête est marquée.

Aucune modification sur le patron Topaze de base à part une réduction de la longueur des manches de 3 cm.

Comme je n’arrivais pas à faire une jolie surpiqûre sur le col, je l’ai refermé à l’intérieur avec des points cachés à la main et je ne l’ai pas surpiqué.

J’aime toujours autant la jolie pointe dans le dos, toujours aussi facile à réaliser grâce aux explications de Frédérique.

Et voilà que maintenant je me mets à porter du rose, et à aimer les trucs girly, dingue!

A moins que je ne prenne pour la panthère rose…

Nouveauté dans la boutique de Frédérique, les patrons sont désormais disponibles en version papier. Clic, clic par ici.

Citrine

C’est le joli nom nom qu’a choisi Frédérique d’histoire de coudre pour son nouveau patron: le nom d’une pierre semi-précieuse pour briller pendant les fêtes!

Ce patron , Frédérique nous en avait parlé mais elle voulait se laisser du temps. Elle s’est laissée convaincre au CSF qu’il fallait presser la sortie de cette robe  idéale pour les fêtes, et ça, c’est une  idée lumineuse.

Ça ne m’a pas laissé beaucoup de temps pour tester le patron, mais je savais déjà quel tissu j’allais utiliser: un magnifique chambray avec un imprimé métallisé or.

Je n’ai pas trop hésité sur la version à réaliser, le tissu étant en 110 de laize, mon métrage ne me permettait pas d’opter pour la version avec des manches.

Mais on peut porter Citrine comme une robe chasuble avec un pull fin ou un sous-pull.

J’ai choisi de garder le col que je trouve très chic mais pour ne pas trop surcharger la robe, j’avais peur que l’imprimé fasse « tapisserie », j’ai utilisé l’envers du tissu.

Citrine est une robe porte-feuille avec plusieurs pans. L’originalité de cette robe, c’est que le croisement se fait avec une fermeture éclair longue de 50 cm prise dans la couture du côté devant gauche et du pan devant gauche.

Le montage, comme d’habitude avec Frédérique, est très malin, j’ai appris des astuces dont je me  resservirai.

L’ourlet en bas est un ourlet machine, je n’ai pas eu le temps de réaliser un ourlet invisible main, dommage. Je n’ai pas ajouté les marges d’ourlet de 4 cm. Comme je suis petite, je préfère les robes qui arrivent au-dessus du genou.

J’ai réduit la hauteur du buste  de 1,5 cm, j’aurais peut-être pu enlever 1 cm de plus mais c’est pas mal. Une ligne matérialisée sur le patron permet de le faire facilement.

Niveau taille, j’ai choisi de couper un 36 mais à l’essayage final, la robe est un peu large alors que j’aime plutôt les vêtement cintrés. Les emmanchures baillent un peu.

J’ai donc pris le parti de reprendre les coutures dos, côtés et devant droit et de coudre les marges à 1,5 cm du bord au lieu de 1 cm prévu. Et là, le fit est parfait.

J’ai aussi ajouté un bouton pression pour maintenir le pan intérieur de la robe bien en place. Il ne se voit pas, il est cousu sur les marges de couture. J’ai aussi thermocollé une bande droit fil sur l’encolure pour qu’elle ne se déforme pas et qu’elle ne gondole pas.

J’adore tellement ma robe que j’ai écumé les magasins de chaussures aujourd’hui pour trouver des escarpins bordeaux assortis. Hé! Hé! Hé! Et j’ai trouvé!

Cahier des charges

Patron:Robe Citrine d’histoire de coudre coupée en 36

Chambray de la collection  Geishas and Ginkgos de Lonni Rossi.

Un grand merci à Frédérique pour sa patience, ses astuces et son savoir qu’elle transmet avec passion et gentillesse.

Jupe Sélénite

Quel plaisir de retrouver Frédérique et de tester pour elle son nouveau patron: Sélénite.

C’est une jupe droite avec plusieurs détails qui font la différence.

Chouette jupe! j’ai choisi un lainage bordeaux et une doublure pêche. Oui la jupe est doublée pour ne pas coller aux collants. J’ai coupé une taille 36 qui correspond à mes mensurations et la taille me va  parfaitement. J’ai juste raccourci la jupe de 2 cm sans faire exprès… J’ai ajouté 1 cm tout autour des pièces, puisque les marges de couture ne sont pas comprises, au lieu d’ajouter 3 cm pour l’ourlet. Mais la longueur convient à mon 1m57.

J’aime particulièrement les poches. Elles sont prises dans la couture et Frédérique propose deux revers différents ou de supprimer les poches si on veut se coudre une petite jupe rapide. J’aime bien mettre mes mains au chaud dans des poches l’hiver!

Au dos, j’ai choisi les poches passepoilées. Je les ai cousues en suivant scrupuleusement les indications de Frédérique. Je n’avais jusqu’alors que fait des boutonnières passepoilées. J’ai donc bien réussi une poche l’autre c’est plutôt moyen… mais il faut dire à ma décharge, que le simili cuir utilisé ne se repassait pas. Bref, je me cherche des excuses! J’adore apprendre de nouvelles techniques, celle-ci pourrait me resservir pour réaliser une poche passepoilée sur n’importe quel vêtement: Frédérique a fait un gros travail en proposant une fiche de guidance de 3 pages avec de très nombreuses photos très explicites de toutes les étapes.

Sur les côtés, des découpes permettent les mélanges de tissus ou de matières. J’ai choisi de rester sobre et de garder le même tissu mais d’autres testeuses ont réalisé des jupes bicolores.

J’ai soigné les finitions jusqu’au bout en cousant l’ourlet avec un point invisible à la main.

Comme toujours, les explications sont trèèèès détaillées et le patron modulable, convient aux couturières de tous les niveaux.

Cahier des charges.

Jupe Sélénite d’histoire de coudre coupée en 36. Poches avec revers devant, poches à double passepoils derrière.

Reste de lainage bordeaux et doublure achetés dans ma mercerie pour un autre projet.

Fermeture éclair invisible bordeaux de 22 cm.

Simili cuir de mon stock.

Comme cette petite jupe n’est pas gourmande en tissus, je n’ai utilisé que des restes du stock! Voici une jupe qui ne vous coûtera que le fil, le patron et la fermeture éclair!  J’adore! J’ai très envie d’une Sélénite bicolore: ce sera parfait pour écluser un peu mes chutes de tissus.

EDIT

Pour l’achat de la jupe Sélénite,  un autre patron ,au choix, est offert avec le code H2CBKB6WJ. Cette offre est valable jusqu’au dimanche 8 novembre minuit. Boutique ici.

Coup de foudre n°3

Oh la la! ça faisait longtemps que j’attendais un patron comme ça: un incontournable de la garde-robe, la veste en jean.

Je l’aime ma nouvelle veste en jean et je dois avouer que j’ai eu beaucoup de chance.

J’ai eu beaucoup de chance parce que j’ai pu suivre le processus créatif de frédérique d’histoire de coudre depuis le début. J’ai trouvé ça très intéressant d’être inclue dans cette phase de travail.

En mai, via instagram, Frédérique avait demandé à quelques couseuses de faire une toile de son pré-projet et lui transmettre nos impressions. Ça ressemblait déjà à une veste mais il y avait des ajustements à faire, surtout au niveau des manches. Frédéric les a modifiées une première fois et nous les a renvoyées, c’était mieux mais pas encore parfait.

Alors, Frédérique s’est attelée à la tâche, elle a donné de l’aisance au niveau des manches, du dos, facilité le résorbage de l’embu des manches et m’a demandé si j’étais d’accord de tester le patron final.

Evidemment, quelle question! Hé! Hé!

J’aime beaucoup ce patron, il est très réussi. J’aime beaucoup la pointe de l’empiècement dos. C’est très facile à réaliser grâce à Frédérique qui, comme toujours, explique en détail toutes les étapes de ses patrons. (ça m’aidera à refaire une jupe Livie, j’avais bien galéré!)

Comme je devais tester la taille 36, je n’ai rien changé à part la longueur des manches. Pour info, je suis plutôt petite et mesure moins de 1m60.  Le patron étant sans marges de couture incluses,  je n’ai pas ajouté les marges au bas des manches et sur les côtés longs des poignets. La manche est donc réduite de 3 cm et c’est suffisant.

Le patron comprend 14 pièces différentes,  c’est long, je ne vais pas mentir, surtout pour moi qui coud comme un escargot. Mais whaou, quelle satisfaction au final! En surpiquant avec  du fil cordonnet contrasté, toutes les coutures sont mises en valeur comme un « vrai » blouson. C’est trop chouette!

Comme je n’avais plus assez de boutons jean, j’ai utilisé des boutons normaux et c’est là que j’en ai bavé. j’ai atteint les limites de ma machine à coudre. Les boutonnières automatiques se sont faites dans la douleur quand il y avait beaucoup d’épaisseurs. Pour les poignets, j’ai cousu deux boutons différents qui font penser à des boutons de manchette, j’aime bien.

J’aime aussi les deux poches poitrine avec leur rabat dont le montage est plutôt malin.

La veste en jean, ça va avec tout. Une jupe, une robe, un short décontracté… J’ai choisi un denim sans élasthanne un peu épais  (d’où ma difficulté pour les boutonnières) vraiment joli avec une trame en biais. Mais j’ai déjà d’autres idées de réalisations dans des tissus plus colorés.

Et si vous êtes observateurs/ observatrices, vous avez sûrement noté que je porte une nouvelle blouse Carme sous ma veste, un cadeau de ma copine Eléonore! Quand je vous dis que je suis une grosse chanceuse!

Cahier des charges

Patron Topaze d’Histoire de coudre coupé en 36 vendu 7€

Pour le lancement, profitez de -10% sur toute la commande avec le code H2CTOPAZE

8 boutons jaunes dorés et deux boutons métalliques étoile de mon stock

Jean sans élasthanne de mon stock acheté avec les copines blogueuses en Alsace pour environ 5 €

Fil cordonnet de ma mercerie

Voici une veste pour moins de 15 € , c’est cool, non?

Merci à toi Frédérique pour ta confiance et ton humilité.

C’est une réalisation ambitieuse mais avec un peu de logique et les explications trèèèès détaillées, tout roule!

 

Passez voir les version des autres testeuses: Virginie,  Belinda, Dorine, Marion, Clotilde, Estelle

Histoire de coudre (entre nous)

C’est le nom d’une nouvelle marque de patrons indépendants que j’ai découverte il y a peu de temps sur thread and needles.

Quand Frédérique m’a proposé de tester son dernier patron, j’ai bien évidemment répondu favorablement… Elle m’a envoyé le descriptif en spécifiant bien que le modèle devait nous plaire pour le coudre. Mais heu… Comment dire… je ne m’étais jamais cousu de  basque, persuadée que la forme ne me conviendrait pas. Mais… je vous ai dit que j’étais devenue aventureuse depuis que je couds?

Finalement la basque, ça me plait beaucoup! Et je trouve que ça me va vraiment bien.

Quand on est testeur/testeuse, il faut suivre les explications à la lettre pour noter les éventuelles coquilles. Je me suis donc basée sur le tableau de mensurations pour déterminer ma taille : 84-65-90 pour un 36 et les miennes : 84 – 68 – 89.

C’est plutôt pas mal. J’ai tout même opéré quelques changements: j’ai enlevé le col rond (Je n’aime pas trop les cols ronds) et j’ai simplement bordé le col d’un biais fait avec mon tissu.

J’ai aussi remplacé la fermeture éclair invisible (Je n’en ai pas trouvé de grise dans ma mercerie) par une fermeture éclair normale en suivant ce tuto. Ultra simple!

Comme je suis plutôt petite, les pinces poitrine ne montaient pas assez haut.  Je les ai prolongées de 3-4 cm, je ne sais plus… Mais j’aurais peut-être pu les allonger encore.  Sinon, j’ai suivi les explications à la lettre, il faut dire que Frédérique est très pédagogue, elle a l’habitude je pense en donnant des cours.

J’aime bien  le petit détail des manches…

C’est un patron qui offre de nombreuses possibilités: Ajout de passepoil ou non, col ou non, bracelets de manches ou non, mixer les tissu ou non… On peut même allonger la basque pour transformer le top en robe. Il est abordable même pour les couturières débutantes grâce aux explications très détaillées accompagnées de schémas explicatifs…

On peut l’acheter en PDF ici.

ça y est j’aime les basques! ^^

Cahier des charges: 

Top à basque Jacinthe histoire de coudre coupé en 36 pour mon 36.

Tissu dont la composition est indéterminée, (il n’y a pas que du coton…), acheté en Alsace avec cdesyle. Elle l’a transformé en Marthe, elle!

Mancherons en popeline grise France Duval Stalla.

Passepoil fuchsia et fermeture éclair de ma mercerie.

(Petit apparté: Ces derniers temps, il est difficile de donner un avis objectif sur la blogosphère… Je n’ai pas pour habitude de dire du bien si je ne le pense pas et je continuerai comme ça. Si je pense qu’un patron comporte des erreurs, je continuerai de le dire. Si j’ai du apporter des modifications , je continuerai de le dire. Si un patron ne me plait pas, je continuerai de le dire. Je m’en fiche d’être bien vue ou non. Je trouve révoltant que des blogueuses soient traitées de morues quand elles dénoncent quelque chose qu’elles ont remarqué à propos d’une marque. Je ne cautionne absolument pas les débordements verbaux et je regarde toujours avec un étonnement mêlé à beaucoup de tristesse tous les défoulements divers à travers les écrans interposés. Fin de l’apparté)